Sinon vaut un pénis à 50 ans, peut on plaire à 50 ans
Mathilde, 17 ans, la sexualité déjà sous contrôle La rencontre a lieu à Genève, devant un thé glacé salvateur.
Sous une allure effacée, Barbara, enseignante au secondaire, a du tempérament. Et, surtout, les idées très claires. Elle se souvient de tout.
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Il peut faire ça durant des heures et me maintenir dans un état inouï de plaisir. Maintenant, je me rattrape!
Et surtout un regard malin. Et le sexe dans tout ça?
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Jean-Paul, lui, parle énormément. Il me célèbre.
Il adore tout de moi. La forme de mon sexe, mon odeur, mes réactions.
Il est obnubilé par mon vagin, et ça ne me déplaît pas! Et les sex-toys, y a-t-elle recours?
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Retour dans les jeunes années de Barbara. Quelle était la vision de la sexualité dans sa famille?
Quand je suis avec des partenaires distraits ou peu curieux, je me lasse très vite. Je peux faire une fellation, si le pénis de mon amant ne me dégoûte pas, mais je ne suis pas prête à me mettre en quatre pour satisfaire mon partenaire.
On a beaucoup regardé des films pornos et on a tout essayé. Et attristée aussi de voir à quel point les jeunes filles acceptent facilement ce retour en arrière.
